Roméo et Juliette vous invitent...

Bien longtemps avant le règne de Charlemagne, une chariotte emmena un jeune serf.
Son cou était pris dans un long col et son coeur par le temps, le foutu temps qu'il voyait passer lentement au fil des bosquets.
A l'arrivée dans une ville, le jeune serf fit une escale à la taverne afin de boire moult chopines et de quérir ses ouailles.
Lors, il se fit remarqué par un paltoquet lui remettant bouton plus haut placé dans sa chasuble.

Anaïs, Elodie et Antoine

L'aut' jour, ya un kéké ki m'a piqué ma place dans l'bus.
Ys croyait malin avec sa tête d'ampoule et son cou d'manche à balai.
Alors, ke j'lui dit, nan mais, t'as vu la vierge en 3 D ou koi ? On n'est pas chez mémé, la fête du slip s'est pas maintenant.
Alors y m'a r'gardé comme si c'était moi l'assassin de John Lennon. Pi y m'a sauté d'ssus comme une souris enragée et là, il a osé me décoiffé un sourcil.
Nan mais tutrencompte ?
J'lai r'vu deux heures plus tard en train de raketer la place d'une pov mémé qui lui r'mettait l'bouton en place.
J'te jure yen a !

Clémence et Hayate

J'attends le bus vert dans la ville rose. La porte s'ouvre puis je vois un homme avec un long cou de poulet tout marron, il se met tout rouge à crier après un vieil homme tout blanc qui lui marche sur sa chaussure noire quand il descend. L'homme rit jaune. L'autre vert de rage. Manque de chance, l'homme mauve est deux heures plus tard devant la gare violette. Son bouton est couleur ivoire naturel. Dehors le ciel est bleu.

Anaîs, Andréa, Armelle

Un jour, ya eu un gars qui m'a payé ma place d'autobus.
- Hé toi, t'fais exprès de m'marcher sur les panards ? C'est pas ma fête !
- Faut pas pousser mè-mère dans les orties nan plus !
C'te gars avec son cou de vieux dindon. Ys croyait malin avec son chapeau de pov mec. Ya une place qu'une mamie avait laissé et lui y s'jette dessus comme un ouf !
Ya un léon qui monte et qui m'dit d'un coup (enragé comme un cachalot) :
- faut que j'rattache mon bouton
Nan mais j'rêve là...

Alison et Mélanie

Un jour de neige, Kevin Cost-neige monta dans le bus pour aller au col-neige, malheur, en montant dans le bus, il se prit une boule de neige. C'était blancheneige. Du coup, le pauvre Kevin remonta le bouton de son col couleur neige.

Sylvain, Thomas, Emilien

é ta vu cmat1 yav 1 ga ki a marché sur le pié d1 otre.
et b1 jlé revu 2h + tar a la place 2 Rome.
Il se disput av 1 mec qui smoké 2 son gran cou.
G ^m entendu kil lui disé : rajout 1 bouton.

Charlotte et Pauline

Dans un bus S, deux personnent se parlent. Un témoin voit la scène.

Acteur 1 : Aïe !
Acteur 2 : Qu'est-ce qui vous arrive ?
Acteur 1 : Vous le faites exprès  de me marcher sur le pied à chaque fois que quelqu'un passe ?
Acteur 2 : Pas du tout, Monsieur...

Le témoin revoit l'acteur 2 avec un ami (acteur3)
Acteur 2 : Salut, ça va ?
Acteur 3 : Non, ça ne va pas !
Acteur 2 : Ben...pourquoi ?
Acteur 3 : parce que ton col est moche, il faudrait que tu remontes ton bouton

Amélie et Amélie

- Eh gars, tu sais pas c'que j'ai vu l'ot jour ? Un gars monte dans le bus de la ligne S, vers les midi, il a environ 20 ans le gars, et il remarque un autre gars qui a un cou tel un héron et qui apparament se dispute avec un aut gars.
Plus tard le gars voit le gars parler de son long cou avec un gars devant gar' St Lazare.

Justin

Veste sa boutone qu'il mieux valait qu'il dit lui qui autre un avec était l'homme plus tard plus peu un. Libre place la sur précipita se long cou au homme l', alla en s' homme un quand, passants autres des pieds les sur que ainsi pieds les sur marchait lui il car homme autre un avec enguela s' il et bondé bus un dans monté long cou au homme un.

Stéphanie

- Eh Mathias ! ce matin, alors que tu étais dans le bus en train de manger il s'est passé quelque chose d'inhabituel, dis-je pour attirer son attention.
- Quoi donc ? me répondit-il. Que t'est il arrivé d'étrange, moi il ne m'est rien arrivé de spécial...
- Comment cela ? Tu n'as rien fait, rien vu de la journée ? Ne me dis pas que tu es resté tout le temps ici...
- Bien sûr que non; Arrête de prendre tout ce que je te dis au mot près. Allez, raconte !
- Bon, j'y vais, commençais-je. J'étais dans le bus, sur un siège pas très confortable en train de manger un sandwichet de boire une buère que je venais d'acheter quand le bus...
- Tu veux pas passer directement à l'histoire parce que là, tu fais durer le suspense. On se moque de ce que tu étais en train de manger...
- Tu veux savoir la suite ou pas ? Alors ne me coupe plus la parole pour ne rien dire. Je reprends mon récit. Lebus s'arrêta et un monsieur qui était plutôt assez grand et mince monta dans le bus. Mais dés qu'il posa ses pieds sur la première marche, il se cogna la tête sur le dessus du bus.
- Tu me fais marcher là, hein ?
- Non, pas du tout ! Cependant ce n'est pas là que je voulais arriver. ça lui est arrivé à cause de son long cou. On aurait dit un cou de girafe je te dis !
- Si tu me dis qu'il s'est cogné, ça n'a rien d'étonnant...
- Il monta dans le bus, il était enfin dedans. Il alla payé son ticket puis chercha une place mais il n'y en avait pas. Il avait fait le tour du bus et avait marché sur les pieds de tout le monde !
- Il est plutôt malchanceux ton gars...
- ça tu peux le dire ! J'étais toujours assis sur mon siège quand le bus s'arrêta de nouveau. La personne assise à côté de moi descendit. C'est à ce moment là que j'ai cru qu'un éléphant l'était tombé dessus !
- Un éléphant ! Tu n'exagère pas un peu quand même ?
- Si mais c'est pour que tu comprennes bien... Comme tu as compris, c'était cette personne maladroite qui s'était élancée àtoute vitesse pour avoir la place.
- Que lui as-tu dit ?
- Qu'il fallait qu'il fasse un peu plus attention à l'avenir. Qu'il n'avait pas besoin de se précipiter sur cette place et que s'il la manquait se n'était pas très grave.
- Quel sang froid ! dit-il à son ami avec fierté.
- Merci. En plus il avait encore une fois bousculé tout le monde.
- Et ensuite ?
- Il est descendu du bus. Quelqu'un s'est moqué de lui à cause de son long cou et de son bouton qu'il n'avait pas attaché. Et pas de chance pour lui, le gars était descendu au même arrêt.
- Oui, tu as raison c'est une histoire bizarre...

Laétitia